Egyptologie
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Luca MIATELLO : Articles dans la Revue ANKH - Essays in ANKH Journal

 

Résumés - Summaries

 

ANKH n°14/15

 

ANKH n°14-15, 2005-2006, pp. 8-33.

 

 

 

ANKH n°17, 2008,

pp. 40-57.

 

 

On the Design and Symbolism of the KHUFU Pyramid

 

Abstract : This paper highlights the use of numerical signs with a connotation of sacrality in the design of the Khufu (Kheops) pyramid and reveals that the architectural layout, with the presence of two chambers above ground and four shafts, was functional to the solar theory of the resurrection.

 

Résumé : Sur la conception et le symbolisme de la pyramide de Khufu. - Le présent article met en lumière l’utilisation des chiffres à connotation sacrée dans le dessin de la pyramide de Khufu (Khéops). Il montre que les lignes architecturales, avec la présence de deux chambres au-dessus du sol et de quatre conduits, opéraient dans le cadre d’une théorie solaire de la résurrection.

 

 

 

 

A ‘Solar Rule’ in the Architecture of Fourth Dynasty Pyramids

Summary: In early Old Kingdom true pyramids, the numbers 7, 9, 11, and their multiples, are particularly recurrent in the determination of measures and entities. The use of numbers having magic and symbolic significance in the architectural design can be traced back to the step pyramids, and it was probably with the minor step pyramids of the third to fourth Dynasty that the idea of the pyramid divided into two parts was first devised, with upper half pyramid symbolic of the solar resurrection. This paper suggests that with Snefru and Khufu the position of the chambers was defined in accordance with a mathematical “solar rule” implying the division of the pyramid into two parts: a lower part associated to the dwat and an upper part symbolic of the resurrection in the day-sky. The determination of a level of exit from the tomb is identifiable in fourth Dynasty pyramids by the analysis of architectural features.

 

Résumé : Une ‘Règle Solaire’ dans l’architecture des pyramides de la 4e dynastie - Dans les premières véritables pyramides de  l’Ancien Empire, les nombres 7, 9, 11 et leurs multiples apparaissent de manière récurrente dans la détermination des mesures et de grandeurs. L’utilisation de ces nombres, revêtant une signification magique et symbolique dans la conception architecturale, peut être retracée pour les pyramides à degrés et c’est probablement avec les pyramides à degré mineures de la 3e à la 4e dynastie que l’idée d’une pyramide divisée en deux parties a d’abord été imaginée, avec une moitié supérieure symbole de la résurrection solaire. Cet article suggère qu’avec Snefru et Khufu, la position des chambres a été définie en accord avec une « règle solaire » mathématique impliquant la division de la pyramide en deux parties : une partie basse associée à la dwat  et une partie haute symboliquement dédiée à la résurrection du jour. La détermination d’un niveau de la sortie de la tombe est identifiable dans les pyramides de la 4e dynastie par l’analyse de leurs caractéristiques architecturales.

 


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